Mercredi 30 mai 3 30 /05 /Mai 21:34

4h du mat. Pendaison de crémaillère. La fête bat son plein, l’alcool coule à flot. Lorsque je prend Faby par la taille pour une biguine enflammée, elle me regarde toute étonnée et d’un sourire coquin me glisse :

« - Je suis une touriste égarée qui ne saura pas retrouver son hôtel !

   - Pas de soucis mademoiselle, laissez-moi vous raccompagner je suis d’ici. »

L’alcool à un effet plus qu’aphrodisiaque sur Faby. A peine démarré, elle commence à m’embrasser dans le cou tout en me caressant à travers le pantalon.

 

Encouragée par ma réaction, elle enlève son T-shirt en pleine ville et ouvre ma braguette. Excité, mes mains sur le volant et mes yeux sur la route, je suis obligé de me laisser faire et elle en profite bassement.

 

Elle glisse sa main, dans mon boxer et en extrait mon sexe qu’elle enfile dans sa bouche. Je sens ses lèvres, sa langue, je bande comme un fou : « attend, on est en ville, laisse moi trouver où m’arrêter ». Par provocation, en guise de réponse, elle arrête …. mais pour enlever son pantalon et se remet à me sucer. La situation, l’excitation, je ne sais plus où m’arrêter ! Ca y est, l’entrée d’un bois, j’en profite, et Faby aussi pour enlever le reste. Entièrement nue, elle m’arrache mes vêtements et se jette sur ma queue. C’est trop bon, je peux enfin me laisser aller.

 

Je glisse ma main entre ses cuisses et enfonce mes doigts dans sa chatte trempée. Ses gémissements non retenus me montrent qu’elle apprécie autant que moi et me donne envie de la lécher. Je me faufile sous son corps jusqu'à atteindre son sexe avec ma langue. Ce 69 improvisé avec cette tigresse en chaleur qui se tortille sur moi  me surexcite. Son odeur, son goût, la chaleur de sa bouche sur ma queue, je n’en peux plus, et l’entraîne sur la banquette arrière.

 

Elle s’installe à quatre pattes, me présentant ses fesses offertes comme une invitation. Je la prend sauvagement et son plaisir monte très vite au fur et à mesure que je la chevauche. A la limite de l’orgasme, je me retire : « non, pas déjà !»

Je la retourne, maintient ses cuisses écartées, et m’enfonce sans ménagement en elle. A chaque coup de reins, Faby crie plus fort. Je me retiens sentant son orgasme très proche.

Enfin elle explose, provoquant une vague de plaisir qui m’emporte….

 

On se rappellera longtemps de cette pendaison de crémaillère !!!

Par Phil&Faby - Publié dans : soirees-speciales
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