C’était mon tour d’organiser notre septième soirée spéciale et j‘avais dans l’idée de nous chauffer un peu, puis de demander à Faby de mettre des boules de Geishas, avant de sortir dîner.

Lorsqu’elle sortit de la salle de bain avec ses plus beaux dessous, elle fut d’abord surprise de ne pas me trouver encore habillé alors que j’avais quitté la salle de bain avant qu’elle n’y entre, puis après quelques compliments sur sa tenue susurrés dans le creux de l’oreille, elle trouva même que la soirée commençait bien ! Je lui dévoilais alors le programme : J’allais commencer par la lécher comme un fou, sans jamais la laisser jouir, puis elle devrait enfiler des boules de Geishas avant d’aller au restaurant.

Joignant le geste à la parole, je faisais délicatement glisser le tissus de son string, puis l’installais sur le fauteuil. M’accroupissant entre ses cuisses, je bizouillais son entrejambe appuyant progressivement mes baisers au fur et à mesure que je m’approchais de sa perle.

Faby s’ouvrit doucement dans un premier râle de plaisir. Entièrement épilée, ses lèvres brillaient déjà d’excitation quand ma langue s’aventura entre elles. Cette odeur, ce goût, ce bouton au garde à vous, je léchais, gobais, mordillais ce sexe comme si c’étais la dernière fois. Au moment ou je sentis Faby partir, je stoppa net et lui tendis les boules.

Elle les glissa en elle, puis s’approcha de moi en me disant qu’il n’y avais pas de raison qu’elle soit seule dans cet état. C’est donc dans cet état là, que nous avons pris la route du resto. Il n’y avait pas grand monde, mais ces banquettes fixes face à face nous éloignais trop pour se caresser discrètement pendant le repas. Le dessert avalé, on s’installa dans la voiture et je pris un détour tranquille pour rentrer à la maison. Faby très excitée, se jeta à l’assaut de ma braguette. Plus elle me léchait, plus conduire devenait difficile. On stoppa à l‘entrée d’une jardinerie déserte à cette heure de la nuit, et ne la laissant pas finir, je repris là où j’avais arrêtais.

Tout en faisant glisser, les boules dans son vagin avec mes doigts, ma langue s’appliquait sans relâche à faire exploser ce bouton de chair tout dur. Faby mouillais très abondamment et cela m’excitais au plus haut point. Je m’enivrais de son jus l’amenant à un violent orgasme qui en expulsa même les boules de son vagin.

Arrivé devant la maison, Faby ne s’était pas rhabillée et descendit de la voiture uniquement vêtue de ses bas, de ses bottes et de son manteau. Je la plaquais dos à la voiture et écartant le manteau à la vue d’éventuels voisins noctambules, je glissais mes doigts dans sa chatte encore détrempée. Très gênée mais terriblement excitée, elle me laissa faire un moment puis caressant mon sexe à travers mon jean, elle m’entraîna chez nous.